mercredi 27 mai 2009

27 mai Paris, un cadavre dans la baignoire du Bristol

Situé à proximité de l'Elysée et du ministère de l'Intérieur, dans le VIIIe arrondissement de Paris, l'Hôtel Bristol accueille une clientèle aisée et internationale. C'est précisément dans une chambre de ce palace que le cadavre d'une femme a été découvert mardi soir.
Il s'agissait d'une cliente de l'hôtel : cette Française née en Pologne, âgée de 36 ans, occupait depuis plusieurs jours une suite. Elle s'y trouvait en compagnie d'un homme, son ex-concubin, âgé d'une quarantaine d'années.
Le concubin recherché par la police
Lors de la découverte du corps, faite par un employé de l'hôtel, la jeune femme gisait apparemment dans une baignoire. Elle était, semble-t-il, couverte d'ecchymoses. Plusieurs objets de la chambre avaient également été endommagés. Cependant, il faudra attendre les résultats de l'autopsie pour pouvoir établir les causes et la date du décès.
Selon une source proche de l'enquête, le drame se serait produit lundi soir au cours d'une dispute entre l'homme et la femme en instance de séparation. Les deux avaient beaucoup bu. La victime aurait succombé aux coups portés par son ex-concubin. Depuis la découverte du corps, ce dernier semble en tout cas introuvable. Il est actuellement recherché par la police.

* * *

(des informations complémentaires : l'identité des protagonistes)


"Où est passé Ian Griffin ? Depuis mardi soir, les enquêteurs de la brigade criminelle sont lancés aux trousses de ce Britannique de 40 ans. L'homme avait, quelques heures plus tôt, quitté précipitamment l'hôtel Bristol au volant de sa Porsche 911 grise immatriculée au Royaume-Uni. Il est aujourd'hui suspecté d'avoir tabassé sa compagne, Kinga Legg, une chef d'entreprise polonaise de 36 ans retrouvée morte dans une suite de ce palace parisien, un cinq-étoiles au style 18e siècle à deux pas de l'Elysée." Source : leJDD.fr du 31 mai 2009 http://www.lejdd.fr/cmc/societe/200922/tuee-au-bristol-suite-503_213269.html

mardi 26 mai 2009

26 mai : 19 ans son assassinat est camouflé par un incendie


L’autopsie a révélé que la victime n’avait subi aucune agression sexuelle. La jeune fille de 19 ans est morte de plusieurs coups portés par une arme blanche, a indiqué mardi le parquet de Besançon. Le corps de la victime, une animatrice scolaire, avait été découvert par les pompiers dimanche vers 8h30 dans son appartement de Luxeuil-les-Bains, en Haute-Saône. Les secours étaient initialement intervenus pour maîtriser un début d'incendie qui s'était déclaré au domicile de la victime.

L'autopsie a révélé par ailleurs que la victime, apparemment sans histoire, n’avait subi aucune agression sexuelle."Il s'agit très clairement d'un acte criminel et un important travail technique et scientifique, compliqué par l'incendie de l'appartement, doit être réalisé", a précisé le procureur de la République de Besançon.

L'enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie de Besançon. (www.europe1.fr)

Haute-Saône
Un suspect a été arrêté dans l’affaire du meurtre de Luxeuil les Bains. Le petit ami de la victime, un homme de 25 ans, a été mis en examen et placé en détention à la maison d’arrêt de Besançon. Rappelons que Laura juif a été tuée chez elle, le 24 mai dernier.

26 mai : tuée par son frère à coups de fer à repasser

26 mai 2009 : Jeannine Piccardi (65 ans) est tuée à coups de fer à repasser par son frère, Jean-
Pierre (47 ans). (Saint-Gaudens, Haute-Garonne)

« Cela fait des années que l'on se bat pour faire comprendre qu'il y avait un danger. Jean-Pierre a toujours eu des problèmes. Il a été surprotégé par notre mère. C'est quelqu'un qui n'avait pas de lien social, qui pouvait être violent. Ma mère disait qu'il ne fallait pas contrarier Jean-Pierre car, sinon, il aurait une crise. »
Au lendemain du drame, dans le quartier du Pouech, où vivaient Jeanine et Jean-Pierre les voisins gardent en mémoire ces soirées difficiles. Un proche confiait ce jour-là : « À l'époque où la maman était vivante, il la tabassait. » La mère est morte il y a sept ans. Avant de mourir elle a fait promettre à Jeanine de s'occuper de son cadet.
Josette déverse les mots en un flot ininterrompu car trop longtemps retenu, sans doute. « Depuis 1980, ni les directeurs des hôpitaux psychiatriques, ni les assistantes sociales n'ont voulu nous entendre. En 1998, nous avons écrit au maire de Saint-Gaudens (N.D.L.R. : Pierre Ortet) pour alerter sur la violence de notre frère. » Mais que peut un maire quand le monde médical trouve raisonnable de laisser un patient dehors ?
Josette en convient. « On nous disait qu'il n'était pas dangereux. Dès lors qu'on s'occupe de lui, Jean-Pierre est toujours calme. C'est ce qui s'est produit après qu'il ait tué notre sœur. C'est quelqu'un qui ne peut vivre tout seul. Il faut qu'il soit encadré. Depuis qu'il est en prison, qu'on s'occupe de lui, il est bien. »
Et maintenant ? Josette attendait la question. « Il faut qu'il soit protégé. J'espère un procès d'assises. Jean-Pierre sera mieux en prison qu'en hôpital psychiatrique. Plus tard, mieux vaudra un CAT que des cachets ».

jeudi 21 mai 2009

21 mai 2009 Gironde : "Il tue son amie à coups de couteau"

"Véronique Soubiran est morte jeudi en milieu d'après-midi, dans son appartement de la résidence Le Dorat à Bègles. Son ami, Claude Paparelli, un Bordelais de 59 ans qu'elle fréquentait depuis le mois de février dernier, l'a tuée de sept coups de couteau assénés au thorax et au visage.

L'arme du crime, un couteau de cuisine avec une lame de 18 cm, a été découvert dans son sac à dos, souillé de sang. (...)

Jeudi après-midi, ils seraient allés sur les berges de la Garonne pour effectuer une promenade en compagnie du fils de Véronique Soubiran, un garçon de 8 ans. Lors de la balade, la discussion se serait soudain envenimée. Le couple aurait donc décidé de rentrer à Bègles. Mais, une fois dans l'appartement situé au premier étage au niveau de l'entrée 3 de la résidence, le ton est à nouveau monté. Que s'est-il réellement passé ? Il semblerait que Véronique Soubiran, excédée, ait annoncé à son ami le désir de le quitter. (...)

La scène se serait en partie déroulée sous les yeux de l'enfant de Véronique Soubiran. Affolé, ce dernier a tenté d'alerter les secours par téléphone, mais c'est en criant par une fenêtre qu'une voisine s'est déplacée et a fait la macabre découverte. (source : Journal Sud-Ouest en ligne, 23 mai 2009, http://www.sudouest.com/gironde/actualite/article/598612/mil/4565233.html )

mercredi 20 mai 2009

20 mai 2009 Eure : il tue sa femme à coups de hache puis brule le corps

Où et quand : Domicile familial dans la nuit de lundi à mardi. Surville, près de Louviers (Eure).
Suspect : Le mari âgé de 36 ans moniteur d'auto-école.
Victime : Sa femme, une professeure des écoles âgée de 36 ans.
Mode opératoire : Dans la nuit il tue sa femme à coups de hache. Le matin, il conduit à l'école les deux enfants du couple, âgés de quatre et six ans, avant de revenir à la maison et de mettre le feu à la pièce où se trouve le corps.
Résultat : Le corps de la jeune femme a été découvert par les pompiers venus éteindre l'incendie.
Motif : «pour des raisons conjugales et professionnelles».
Informations complémentaires : Son mari s'est constitué prisonnier dans l'après-midi à la gendarmerie de Louviers, a été placé en garde à vue.

20 Mai : il tue sa voisine et la fille de celle-ci.

Description :
Un homme âgé de 62 ans a tiré sur sa voisine et sur la fille de celle-ci, mercredi 20 mai vers 7 h 30 à Châtillon (Hauts-de-Seine). La voisine, âgée d'une soixantaine d'années, a été mortellement atteinte par les coups de feu, tandis que la jeune femme, touchée également, a été évacuée par les secours vers un hôpital proche. La femme la plus âgée aurait également eu la gorge tranchée, mais on ignore lesquelles de ses blessures ont été mortelles. Sa fille, âgée d'une trentaine d'années, a été très grièvement blessée à l'abdomen et à la jambe. Elle a été transportée à l'hôpital Georges-Pompidou (Paris). Son pronostic vital est engagé. Sur place, un voisin donne sa version des faits et la personnalité de cet hommt qui a mis fin à ses jours en se jetant du huitième étage. Un conflit de voisinage entre sexagénaires dans un immeuble HLM de Châtillon, dans les Hauts-de-Seine, a dégénéré mercredi en une querelle meurtrière. Un homme d'une soixantaine d'années s'est rendu, armé, chez sa voisine du dessous à laquelle l'opposait un différend vieux de plusieurs années dont on ignore la nature.

mardi 19 mai 2009

19 Mai : le mari soupçonné de meurtre

Le retraité allemand qui aurait inventé le scénario d'une agression à Tarascon, dans les Bouches-du-Rhône, et ce afin de masquer le suicide présumé de son épouse a été mis en examen lundi soir après l'ouverture d'une information judiciaire pour dénonciation de faits imaginaires.
Le juge d'instruction qui a mis en examen Hans Anschutz a suivi les réquisitions du parquet qui avait requis le placement sous contrôle judiciaire ainsi qu'une caution de 10.000 euros, a annoncé le procureur de la République de Nîmes, Robert Gelli. Le retraité est donc dans l'obligation de se présenter aux convocations du juge en France, mais il reste libre de ses mouvements et peut donc rentrer en Allemagne, a précisé le procureur, ajoutant que l'homme est dorénavant pris en charge par son fils venu d'Allemagne ainsi que par le consulat d'Allemagne à Marseille.
Une enquête pour meurtre en Allemagne
Placé samedi soir en garde à vue dans les locaux de la section de recherche de la police judiciaire de Marseille à la suite de ses aveux, Hans Anschutz risque six mois de prison et une amende. De son côté, la justice allemande a annoncé lundi avoir ouvert une enquête pour meurtre contre le retraité de 65 ans, domicilié à Kaarst, tout près de Dusseldorf.
Hans Anschutz, qui avait signalé jeudi la disparition de son épouse près de Tarascon, après une mystérieuse agression, avait en fait inventé ce scénario pour masquer le suicide présumé de sa femme et préserver ses enfants, selon ses aveux aux enquêteurs.

vendredi 15 mai 2009

15 mai 2009 Pas-de-Calais : Il noie son ex dans un ruisseau.

Où et quand : dans un ruisseau à Angres (Pas-de-Calais), près de Lens.
Suspect : L'ex-petit ami, un jeune homme âgé de 27 ans.
Victime : Céline une fille de 17 ans et demi.
Mode opératoire : L'autopsie de la jeune femme avait révélé que sa tête avait été maintenue sous l'eau, provoquant la noyade et donc la mort.
Résultat : Le corps sans vie de l'adolescente, à demi immergé dans 50 à 60 centimètres d'eau, avait été découvert dans la Souchez mercredi, en fin d'après-midi par des promeneurs.
Motif : Il a reconnu avoir tué Céline au cours d'un rendez-vous qu'il lui avait donné, une semaine après leur séparation. «Il vivait mal la rupture».
Informations complémentaires : Un couteau avait été également retrouvé à proximité mais l'examen du corps n'avait révélé aucunes traces de coups de couteau. Le jeune homme, interpellé jeudi soir chez un ami près de Lille, n'avait pas d'emploi et changeait souvent d'adresse, il n'était pas connu des services de police.

15 mai 2009 Victime dans un état critique

Marne : Le mari jaloux poignarde sa femme à trente reprises puis la jette du 7e étage.
Où et quand : Mercredi soir vers 21 heures au septième étage d'un immeuble de l'allée des Bourguignons, au n° 18 quartier Croix-Rouge à Reims.
Suspect : Le concubin âgé d'une vingtaine d'années, Junior C.
Victime : Sa femme, une étudiante originaire du Maroc.
Mode opératoire : ll lui porte une trentaine de coups de couteau. À l'arrivée de la police et des pompiers, il enjambe la fenêtre donnant sur l'allée des Landais, l'étudiante inconsciente portée sur une épaule, il menace de sauter avec elle dans le vide en cas d'intervention des secours. Postés sur un balcon voisin, les policiers tentent de le raisonner avec l'aide d'un ami, sans succès.
Résultat : « Quand les pompiers ont commencé à monter la nacelle vers lui, il a dit qu'il allait la lâcher » « Les pompiers ont redescendu la nacelle tout doucement, puis ils l'ont remontée d'un coup. Il a lâché la femme à ce moment-là. Tout le monde a crié. Elle est tombée dans la nacelle qui se trouvait juste en dessous. » Les policiers sont entrés dans l'appartement en cassant la porte. Surexcité, l'individu s'est débattu. Il a frappé un gardien de la paix, a craché sur les pompiers, a insulté tout le monde puis a fini par faire un malaise qui a nécessité son transport au CHU.
Motif : Décrit comme « quelqu'un de poli, courtois », il ne s'était jamais fait remarquer du voisinage. Leur couple donnait l'impression d'être sans histoire. D'après certains, il n'aurait pas supporté de surprendre sa compagne avec un homme au centre-ville de Reims.
Informations complémentaires : , la victime se trouvait toujours dans un état critique mais stationnaire.

mercredi 13 mai 2009

13 mai 2009 : un jeune homme (20 ans) tente de tuer sa compagne de trente coups de couteau,puis la jette du 7 ème étage

Un jeune homme d’une vingtaine d’années a blessé sa compagne, mercredi soir, d’une trentaine de coups de couteau.Puis il a tenté de la jeter par la fenêtre de leur appartement situé au 7ème étage d’un immeuble à Reims.Les pompiers alertés par une amie du couple, ont réussi à récupérer la jeune femme à l’aide d’une nacelle.La victime, une jeune femme de 19 ans, étudiante en droit à Reims a été « atteinte sur l’ensemble du corps par plus de trente coups portés à l’aide d’un petit couteau de cuisine » a précisé Madeleine Simoncello, procureur de la république de Reims.Selon la magistrate, il s’agirait d’un « drame de la jalousie ».La jeune femme a été hospitalisée au CHU de Reims dans un état grave. Son compagnon devait être déféré hier après-midi au parquet pour tentative d’homicide volontaire. (Sources: L'Union, Actu Orange)