vendredi 3 décembre 2010

Egorgée et brûlée !

n Constant | 03.12.2010, 12h53 | Mise à jour : 13h34
Le corps d'une femme de 52 ans a été retrouvé carbonisé mercredi soir à Reims (Marne). L'autopsie a révélé qu'elle avait été auparavant égorgée.

L'affaire s'est déroulée mercredi dans l'après-midi, dans la capitale champenoise. A 15 h 20, des témoins signalent un feu dans un parking souterrain.

Les pompiers arrivent rapidement à maîtriser l'incendie mais trouvent sous le véhicule un corps, visiblement celui d'une femme.

Très vite, des éléments permettent d'identifier cette femme de 52 ans, originaire de la Marne. L'autopsie révèle que des coups lui ont été portés au visage et sur le corps et qu'elle a été égorgée. Son compagnon, prénommé Hacene, et âgé de 34 ans, est interpellé dans la foulée. Il n'explique pas sa présence dans le quartier.

Il a été placé en garde-à-vue et sera déféré au parquet de Reims en début d'après-midi en vue de sa mise en examen pour homicide.

mercredi 1 décembre 2010

Il tue sa femme et se suicide

Eure : il tue sa femme et se suicide


Un homme de 56 ans a tué lundi soir, à coups de fusil de chasse, son épouse âgée de 40 ans qui réclamait le divorce, avant de se suicider, à Saint-Georges-du-Vièvre (Eure).

Le drame s'est produit vers 22 heures alors que cette femme appelait la gendarmerie en expliquant qu'elle avait des problèmes avec son mari. La communication a brusquement été coupée et les gendarmes ont envoyé aussitôt une patrouille dans cette commune.

Sur place, les voisins leur ont dit que tout était «terminé». Ils ont entendu des détonations et retrouvé les deux corps, sans vie, dans le pavillon du couple.

Les quatre enfants de cette famille, âgés de quinze, onze, neuf et six ans, qui étaient présents lors du drame, ont été transportés dans un service médico-psychologique de l'hôpital d'Evreux.

Selon les premiers éléments de l'enquête confiée aux gendarmes de la brigade de recherches de Pont-Audemer (Eure), l'épouse voulait se séparer de son mari et lui en avait fait part.

jeudi 25 novembre 2010

Toulouse : Surendetté, il tue sa femme et son fils

Toulouse : un retraité surendetté abat sa femme et son fils
Un septuagénaire a tué son épouse et son fils au fusil de chasse avant de mettre fin à ses jours dans un pavillon du Vernet, au sud de Toulouse.
Rongé par les dettes et la dépression, Jean Roques, 77 ans, a abattu hier au petit matin son épouse Doubije, 77 ans aussi, et leur fils Alain, 55 ans, dans leur maison basse de la rue de la Guadeloupe au Vernet (Haute-Garonne). Juste avant ou après avoir tué sa famille, l’ancien retraité de Radio Saint-Lys, le service de liaison radio maritime fermé depuis quelques années, avait envoyé trois SMS à des proches pour faire part de son intention d’en finir avec la vie.
Alain, le fils, lui aussi employé de France Télécom comme son père dans un centre à Toulouse, a été tué dans sa chambre et était encore en pyjama. Le corps était derrière la porte et portait la trace de coups tirés au thorax et au bas-ventre. L’épouse a été abattue d’une décharge en plein cœur dans le lit conjugal et portait encore sa chemise de nuit. Le mari, après avoir rechargé son arme, s’est donné la mort en plaçant le fusil sous la gorge. Il gisait sur le sol de la chambre à côté de sa femme, le fusil de chasse à portée de main. Hier soir, les gendarmes ont refermé le portail métallique blanc avant de poser les scellés. Dans le lotissement battu par la tempête et une pluie glaciale, les volets se refermaient les uns après les autres.

mercredi 17 novembre 2010

Laval: arrestation du conjoint de la jeune femme tuée

Le corps d’une jeune femme a été retrouvé sans vie, le samedi 20 novembre, dans un appartement du boulevard de la Concorde, à Laval-des-Rapides.
Un appel à l’aide logé à Auteuil a mis les policiers sur la piste du drame. L’auteur de l’appel, un homme de 26 ans, confus, a invité les agents à se rendre au 605, de la Concorde, appartement 8.
C’est là que les policiers ont découvert la dépouille de la jeune victime, qui portait des blessures infligées à l’aide d’un objet contondant.
Fait étonnant: le colocataire de la jeune femme, un homme de 25 ans, était présent dans l’appartement. Il dormait dans sa chambre, à l’arrivée des agents. Il a été relâché après avoir été interrogé.
Le suspect principal, dans cette affaire, est l’homme qui a appelé la police. Il était possiblement l’ami de cœur de la victime, dit Franco Di Genova, des Affaires publiques du Département de police de la Ville de Laval. Détenu depuis le 20 novembre, il devait comparaître au palais de justice de Laval, le 22 novembre.Le petit ami de la jeune femme qui aurait été victime d'un homicide dans le quartier Chomedey, à Laval, a été arrêté par les policiers et pourrait faire face à une accusation de meurtre.

«On a toutes les raisons de croire qu'il s'agit d'un meurtre», a déclaré Franco di Genova, de la police de Laval.

Les policiers ont ainsi arrêté le conjoint de la victime, âgé de 26 ans, dans l'appartement où le corps de celle-ci a été retrouvé sans vie samedi matin. Il va être vraisemblablement accusé de meurtre.

Les autorités refusent pour l'instant de donner des détails sur les circonstances de la mort et la nature des blessures subies par la victime

Eure-et-Loir : il tue un couple et sa femme avant de se suicider

Un homme a tué sa femme et un autre couple avant de se donner la mort.

Drame familial tragique. Un homme d'une trentaine d'années s’est donné la mort, après avoir tué par balles sa femme et un autre couple, mercredi, en Eure-et-Loir. Cinq enfants, âgés de 2 à 12 ans, ont perdu leurs parents.

Selon les premiers éléments, un drame familial serait à l’origine de cette tuerie. Il aurait d’abord tué le coupe vivant à Amilly (Eure-et-Loir), avant de tuer son épouse de se donner la mort, à son domicile de Rouvray-les-Florentin (Eure-et-Loir), près de Chartres.

Le mari du couple et l’épouse du tueur étaient tous les deux professeurs de musique à l'école intercommunale de Voves.

Une enquête a été ouverte par la Brigade de recherches de Lucé pour déterminer les raisons qui ont provoqué cette tuerie. Des autopsies des corps seront rapidement pratiquées.
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samedi 30 octobre 2010

Un octogénaire a tué dimanche son épouse avant de retourner l'arme contre lui

Un homme de 88 ans a tué sa femme de 83 ans dimanche soir en Haute-Vienne. Il semblerait que les deux personnes âgées n'étaient pas en bonne santé.

Dans la soirée de dimanche, vers 20 heures, les pompiers ont reçu l’appel d’un homme, réclamant leur présence à son domicile de Pierre-Buffière (Haute-Vienne).

Louis Lascaux, âgé de 86 ans, vient d’appeler les secours avant de tirer un coup de fusil sur son épouse, Henriette, 83 ans, puis de retourner l’arme contre lui. Tous deux sont morts.

Il semblerait que les deux personnes âgées n’étaient pas en bonne santé.

D’ailleurs, et même si les raisons qui ont poussé l’octogénaire à se donner la mort après avoir tué son épouse restent encore à éclaircir, les circonstances en elles-mêmes ne font guère de doute pour les gendarmes.

C’est pourquoi, hier matin, les corps ont été rendus à la famille sans autopsie préalable.

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jeudi 28 octobre 2010

Pensant être atteint d'une leucémie, il tue sa femme

Antony dans les Hauts-de-Seine

Antony dans les Hauts-de-Seine
Antony dans les Hauts-de-Seine
Nicolas D., un père de famille de 43 ans résidant à Antony (Hauts-de-Seine), a tué sa femme à coups de marteau, ne supportant pas que celle-ci puisse refaire sa vie.
Tout commence lorsque ce cadre supérieur se plaint de violentes au dos et à l'abdomen, à la suite d'une opération de la clavicule. Les analyses radiologiques ne révèlent rien d'anormal mais l'homme effectue une prise de sang. Celle-ci indique un taux trop élevé de leucocytes (globules blancs). Nicolas D., qui a peu confiance en la médecine, se renseigne sur internet et s'auto-diagnstique une leucémie incurable. "Ça me faisait peur. J’ai toujours été fou amoureux de Nathalie. Je ne pouvais concevoir qu’elle vive avec un autre", aurait-il déclaré à la police judiciaire.
C'est à ce moment qu'un matin, il assène trois coups de marteau à son épouse. C'est leur fils de 15 ans qui effectuera la macabre découverte. A côté du corps de sa mère, le père avait laissé une lettre sur laquelle il était écrit : "Maman est morte et moi aussi je vais mourir". Cependant, Nicolas D. n'a "pas eu le courage" de se jeter dans la Seine.
La femme est décédée deux jours plus tard à l'hôpital et l'homme est mis en examen pour "meurtre par conjoint" et écroué.

mardi 19 octobre 2010

Caussade. Il tue sa femme et se suicide

René Pédron et son épouse ont été retrouvés morts hier soir dans leur maison de l'avenue Jean-Jaurès à Caussade. Selon les tous premiers éléments recueillis sur les lieux, il s'agirait d'un meurtre familial commis par un mari en détresse qui aurait ensuite retourné l'arme à feu contre lui pour se suicider.

L'alerte a été donnée vers 19 heures 50 par un membre de la famille inquiet de ne pas avoir de nouvelles de ce couple d'octogénaires se débattant dans des problèmes de santé. Les corps ont été découverts à l'arrivée des premiers secours. Les techniciens en identification criminelle de la gendarmerie de Montauban, ainsi que les enquêteurs de la brigade de recherches de Montauban et de la communauté de brigade de Caussade ont pris alors en charge toutes les investigations sous la houlette du capitaine Vergne, adjoint au commandant de compagnie de Montauban. Jacques Prunes et Bernard Pajot, deux des plus proches voisins ont été stupéfiés en apprenant la tragédie. L'un d'eux s'est pourtant souvenu avoir entendu dimanche matin deux détonations, mais sans penser qu'elles pouvaient provenir de la maison des Pédron. Les enquêteurs s'appliquaient hier soir à déterminer le jour exact et l'heure du drame.

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dimanche 17 octobre 2010

Femme assassinée à Paris: l’ex-petit ami de sa fille en garde à vue

Un homme qui avait eu une liaison amoureuse avec la fille de la femme de 49 ans poignardée à mort dimanche matin à Paris (XIXème arrondissement) a été placé en garde à vue, a-t-on appris lundi de source proche de l’enquête. La piste d’une vengeance liée à un différend d’ordre sentimental est étudiée par les enquêteurs de la Brigade Criminelle.

Mère de trois enfants, la victime avait été agressée à coups de couteau vers 9h30 alors qu’elle sortait de chez elle, rue de Colmar, par un homme qui avait pris la fuite. Elle était décédée rapidement après sa prise en charge par les secours.

Peu après, les enquêteurs étaient avisés qu’un homme gravement blessé à la main avait été admis dans un hôpital parisien. Agé de 27 ans, il a été placé en garde à vue. Il devait être interrogé à l’issue de son opération. Selon les premiers éléments de l’enquête, il aurait eu une liaison avec la fille de la victime, âgée de 21 ans, qui a été entendue par les enquêteurs.

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jeudi 14 octobre 2010

Un pompier du Doubs tue sa femme et se suicide

Le corps d'un sapeur pompier originaire de Frasne, dans le Doubs, a été découvert cette semaine à son domicile de Lyon, à côté du cadavre de sa compagne.

L'homme, âgé de 29 ans, gisait un couteau planté dans le ventre, des traces de strangulation autour du cou et les poignets tailladés.
Sa femme avait quant à elle été égorgée.

Tous deux étaient déjà morts depuis quelques jours lorsque les secours les ont découverts.

Les enquêteurs supposent que l'homme a tué sa femme, avant de se suicider.

Source : Plein Air, l'Est Républicain

jeudi 7 octobre 2010

Un homme de 74 ans tue sa femme et se suicide

Les corps d'un homme de 74 ans et de son épouse de 76 ans qu'il a tuée avec arme à feu avant de se suicider ont été découverts mercredi à leur domicile de Chatou (Yvelines). L'arme a été retrouvée sur les lieux.

La police a découvert les deux corps dans la salle de bains vers 16 h 30.

La femme, qui se trouvait dans la baignoire, présentait une plaie par balle au niveau de la tempe, tandis que le mari gisait sur le sol, la recouverte d'un sac plastique, selon une première source policière.

Pour mettre fin à ses jours, l'homme s'est injecté de l'air comprimé par les narines avec une bonbonne, a précisé une seconde source.

Les faits remonteraient à «deux ou trois jours», la police ayant été alertée par la soeur du vieil homme, qui a reçu un courrier de son frère lui faisant part de ses intentions suicidaires. Une autopsie doit être pratiquée vendredi sur les deux corps.
L' a été confiée au commissariat du Vésinet.

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Violences conjugales. 140 femmes tuées en 2009

Trois décès par semaine. 140femmes ont succombé sous les coups de leur conjoint en 2009.

Le chiffre est certes en baisse mais il reste élevé. 140femmes ont été tuées en 2009 sous les coups de leur conjoint, contre 156 l'année précédente. «Ces chiffres sont un petit vent d'encouragement mais on ne peut pas encore parler de satisfaction», a réagi, hier, Nadine Morano. La secrétaire d'Etat à la Famille qui visitait le Centre national d'information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF) a également rappelé que 25 hommes avaient perdu la vie l'année dernière sous les coups de leur conjointe. Dix enfants ont également succombé dans ces circonstances.

232 suicides

Ce bilan ne prend pas en compte les suicides liés aux violences conjugales. Selon une étude publiée par un cabinet spécialisé dans la prévention de ce type de violences, 232 victimes ont mis à leur jour en 2009 ainsi que 46agresseurs. Les décès liés aux violences conjugales dépassent alors largement le cap des 400. Même s'ils ne sont pas eux-mêmes victimes des coups, les enfants sont très fréquemment des «victimes collatérales». 60% des enfants témoins de violences conjugales souffrent de stress post-traumatiques. Avec le risque pour certains d'entre eux de reproduire de telles scènes dans leur couple. C'est d'ailleurs le thème de la dernière campagne officielle de prévention. Après un clip télé diffusé en septembre, mettant en scène un petit garçon et une petite fille qui jouent à la dînette et se mettent à reproduire une violente dispute parentale, une nouvelle affiche va être diffusée sur internet et placardée dans les centres d'information. Pour lutter contre les violences conjugales, un délit de violences psychologiques a été créé cet été. Les juges peuvent également désormais rendre une ordonnance de protection avant même que la victime ne porte plainte. Dans ses démarches, la victime peut être aidée d'une association, qui doit être «qualifiée», selon la loi. Mais des juristes s'inquiètent de savoir qui va désigner ces associations. «Nous n'avons pas eu de réponse» de Nadine Morano sur ce point, a estimé, déçue, Marie Petot, directrice du CIDFF de Nanterre, qui aurait aimé en savoir plus.www.stop-violences- femmes.gouv.fr

lundi 4 octobre 2010

Noyarey: Une femme de 38 ans tuée de trois coups de fusil

L'info sera en "une" du Dauphiné Libéré de ce mardi.

Une secrétaire âgée de 38 ans a été tuée de trois coups de fusil de chasse lundi matin sur son lieu de travail, en Isère, par un homme qui pourrait être "son compagnon ou son ex-compagnon" et qui a été interpellé quelques heures après, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Cette femme venait de stationner son véhicule sur le parking de son entreprise à Noyarey, un village au pied du Vercors, lorsqu'un homme qui l'attendait a fait usage de son fusil à trois reprises, la tuant sur le coup, a-t-on précisé de même source.

De rapides investigations ont permis d'interpeller lundi en fin de matinée, près de son domicile dans une banlieue de Grenoble, un homme de 52 ans présenté comme "l'auteur présumé" du crime, a-t-on ajouté. L'homme, qui était toujours auditionné lundi soir par les gendarmes de la brigade de recherches de Grenoble, aurait commencé à "reconnaître les faits". Aucun élément n'a pour l'heure été avancé concernant les motifs de ce meurtre.

dimanche 3 octobre 2010

Deux corps retrouvés dans l'Orne

Les corps de deux amants ou ex-amants, un homme de 43 ans qui s'est a priori suicidé et celui d'une femme de 49 ans qui a vraisemblablement été assassinée, ont été retrouvés dans l'Orne, laissant penser à un drame passionnel, a-t-on appris aujourd'hui auprès du parquet d'Argentan.

"Nous ne savons pas" si l'homme et la femme, qui ont eu une relation amoureuse, "avaient toujours" cette relation, a déclaré David Pamart, procureur de la République à Argentan. "Le scénario de l'homme qui tue la femme et se suicide à la suite d'une rupture est le premier qui vient à l'esprit mais il faut attendre le résultat des autopsies", a-t-il indiqué. L'autopsie de la femme doit avoir lieu demain et celle de l'homme mercredi, selon la même source.

Le corps de la femme, qui portait des traces de strangulation, a été retrouvé vendredi dans le 4x4 de l'homme, dans un champ à La Coulonche, à une centaine de km au sud de Caen, a précisé David Pamart. Le corps de l'homme, pendu, se trouvait à quelques mètres de là, selon David Pamart.

Les scénarios de double suicide ou du double meurtre par un tiers ne peuvent ête exclus avant les résultats de l'autopsie, a souligné David Pamart. L'homme, qui avait des enfants, était magasinier, la femme travaillait dans la même entreprise, selon le parquet.

Un couple tué à la carabine : la thèse du drame passionnel progresse

L'enquête sur la mort violente d'un couple âgé d'une vingtaine d'années, découvert gisant dans sa maison à Croix-Caluyau dimanche soir, s'oriente vers un drame de la rupture. Des traces écrites indiquent que le couple vivait une situation désespérée.

À Croix-Caluyau, village de 213 habitants situé près de Landrecies et du Cateau-Cambrésis, dimanche était jour de chasse, et une habitante de la chaussée Brunehaut confie qu'elle n'a pas prêté attention aux coups de feu tirés dans les environs. À un jet de pierre de sa maison, pourtant, ce sont deux coups de carabine 22 long rifle qui auraient ôté la vie, dimanche en début de soirée, à un couple installé depuis peu dans une fermette en location. Une femme de 25 ans, Valérie Brasselet, et un homme de 19 ans, Dimitri Lefèvre, dont la relation était dans l'impasse.

Une lettre, retrouvée par les gendarmes près des corps découverts dans le salon de la fermette, a permis à l'enquête de s'orienter vers la thèse du drame de la séparation. Écrite par Valérie, elle demande à Dimitri de quitter la maison où le couple s'était installé au printemps. La jeune femme avait apparemment laissé la missive à son compagnon avant de s'absenter une partie de la journée de dimanche. « Entre le moment où elle est rentrée chez elle et celui où les corps ont été découverts vers 20 heures, on ne sait pas ce qu'il s'est passé », confiait hier le parquet d'Avesnes-sur-Helpe, qui reconnaissait cependant « qu'aucun élément ne laisse supposer l'intervention d'un tiers ».

« Ne va pas là-bas »

On sait que vers 16 heures, Dimitri avait posté un message sur le site Internet communautaire Facebook. À côté de son message d'accueil habituel, « j'aime ma chérie Valérie », une phrase lapidaire insultait un homme habitant une autre commune du Quercitain et s'achevait par « T mort ».

Crise de jalousie meurtrière ? Les gendarmes ont identifié un « rapprochement » entre l'homme concerné et Valérie, la jeune femme elle-même ayant par le passé reproché au jeune homme son infidélité. Les corps doivent être autopsiés pour déterminer qui a tiré les coups de feu, la carabine n'ayant pas été retrouvée tenue par l'une des victimes, mais à proximité. À 2 h, dans la nuit de dimanche à lundi, les enquêteurs de l'identité criminelle étaient toujours sur place à Croix-Caluyau. Rappelons que c'est une amie de Valérie qui a découvert dimanche les jeunes gens et appelé le père de Valérie qui habite Bousies, une commune toute proche. Les membres des familles du couple ont accouru les uns après les autres. Le père de Valérie n'avait notamment plus de nouvelles de sa fille depuis un coup de téléphone alarmant en début d'après-midi, où la jeune femme décrivait son compagnon pris d'une rage folle. « Je lui ai dit : "ne va pas là-bas, attends que je rentre" », se souvient le père

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vendredi 1 octobre 2010

Le nonagénaire tue sa femme et se suicide


Les gendarmes de la brigade de recherches de la compagnie d’Orange et les techniciens en investigation criminelle privilégient la thèse du drame familial pour ce fait divers qui s’est passé vendredi dans le quartier du Plan, route de Roaix à Vaison-la-Romaine.

Tout laisse à penser que Raymond Rivoire, âgé de 97 ans a tué son épouse Hélène âgée de 10 ans de moins que lui en déchargeant une cartouche de fusil de chasse, avant de retourner l’arme contre lui. Son arme a été retrouvée à ses pieds. L’accident se serait produit aux alentours de midi. Les deux corps ont été retrouvés par leur fille qui rendait une visite quotidienne à ses parents. Il était alors 14 h 30.

Une famille de viticulteurs et d’agriculteur sans histoire. Des examens médicaux récents l’avaient informé d’une affection maligne.

Lui qui parcourait régulièrement ses douze kilomètres par jour à vélo ne voulait pas être happé par la maladie. On peut imaginer qu’il ne voulait pas laisser sa femme seule.

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dimanche 26 septembre 2010

Rouen. Un homme avoue le meurtre de sa compagne et de sa belle-fille

Un homme s'est constitué prisonnier dimanche à Chauvigny, près de Poitiers. Il a déclaré avoir tué sa compagne et la fille de cette dernière.

Un double meurtre a été commis ce week-end à Chauvigny, près de Poitiers. Un homme s'est rendu de lui-même à la gendarmerie de la commune. Il a avoué avoir tué sa femme et la fille ce celle-ci. Des représentants des forces de l'ordre se sont rendus dans l'appartement de la victime présumée pour vérifier ces dires. Ils ont bien trouvé deux corps qui présentaient des traces de coups portés vraisemblablement avec une arme blanche. L'homme qui s'est accusé du meurtre était en instance de séparation avec la femme tuée.


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Tragédie familiale: il tue sa femme et blesse sa fille avant de se suicider

Ce père de famille a également blessé un jeune homme de 18 ans dimanche en début de soirée à son domicile dans l'Hérault, avant de retourner l'arme contre lui. Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame est survenu au terme d'un conflit familial qui a mal tourné.

Un père de famille a tué sa femme et blessé deux personnes dont sa fille par arme à feu, dimanche à leur domicile en début de soirée à Vérargues dans l'Hérault. Le tireur, dont le sort était inconnu en début de soirée, a finalement décidé de mettre fin à ses jours.

"Il s'est suicidé, l'action publique est terminée", a déclaré le procureur de la République à Montpellier, Brice Robin. Dans un premier temps, les gendarmes présents sur place ignoraient s'il était resté dans la maison isolée dans les vignes où se sont déroulés les faits, ou s'il avait pris la fuite.

"On a tenté de prendre contact avec l'individu, pour s'assurer qu'il était dans la maison. On s'est approché, la maison était silencieuse, et on a vu par la fenêtre un corps gisant par terre. Selon toute vraisemblance, il a retourné l'arme contre lui", a raconté le colonel François Agostini, commandant du groupement de gendarmerie de l'Hérault.

Les faits se sont déroulés vers 18H30 dans la maison familiale à Vérargues, près de Lunel. La femme tuée, atteinte à la tête, est âgée de 40 ans selon les pompiers. Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame est survenu au terme d'un conflit familial qui a mal tourné et l'épouse "était en train de s'enfuir" quand elle a été mortellement touchée de dos, a précisé le procureur.

La fille du tireur qui a reçu une balle de 22 long rifle dans l'abdomen, a réussi à s'enfuir. Elle a été hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger, selon la même source. La troisième victime est un jeune homme de 18 ans, une connaissance de la famille qui a reçu une balle dans le bras.

Des renforts du Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) étaient attendus quand la vingtaine de gendarmes déjà présents sur place ont approché la maison et constaté la mort du tireur.

Les circonstances exactes du drame et le motif de la dispute qui l'a déclenché n'étaient pas encore connus dimanche soir. (Source AFP)

Il se suicide après avoir tué sa femme

Un terrible drame a eu lieu hier, peu après 18h à Vérargues, à l'est de Montpellier, dans une maison isolée. Un homme d'une cinquantaine d'année, visiblement sansemploi, a tué sa femme âgée de 44 ans, par arme à feu. Il a également blessé deux personnes dont sa fille. La femme aurait été touchée à la tête, selon les pompiers. La fille a reçu une balle de 22 long rifle dans l'abdomen, elle a été hospitalisée et a été transportée à l'hôpital consciente. Elle serait hors de danger.
La troisième victime a elle aussi été blessée par arme à feu, au bras. Il s'agit d'un jeune homme de 18 ans, une connaissance de la famille. Vers 21h30, le corps sans vie du tireur a été retrouvé. Il s'est suicidé.
Selon les enquêteurs, le couple était connu des services de police. L'homme avait des antécédents d'escroquerie, de recel, de vol et de trafic de stupéfiants. Le couple aurait été impliqué récemment dans une affaire de vol de pièces auto

lundi 20 septembre 2010

La mort en pleine rue à Biarritz.

Coup de folie ou acte prémédité ? Un homme de 76 ans a tué son ancienne femme avant de se donner la mort en pleine rue, dans le centre-ville de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques).


A Biarritz, on s’interroge. Pourquoi cet homme de 76 ans a-t-il tué son ancienne femme, âgée de 69 ans, en pleine rue, dans le centre ville de la cité basque ? Un acte de folie ou un geste prémédité ? Au vu des courriers retrouvés dans les poches du meurtrier, le coup de folie passager sera sans doute écarté par les enquêteurs biarrots. Lundi 20 septembre 2010, il est un peu plus de 19 heures quand le septuagénaire tire sur son ex-femme. Une cartouche tirée à bout portant en plein abdomen ne laisse aucune chance à cette femme dont il était divorcé depuis une trentaine d’années. Suite à son geste, il va retourner son fusil contre lui et se donner la mort, en pleine rue. Les enquêteurs poursuivent leur enquête pour connaître les éléments qui ont conduit au drame.

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mercredi 15 septembre 2010

Il tue sa femme et se suicide

Un homme de 90 ans a tué sa femme et s'est donné la mort à Cognac-la-Forêt. Une lettre explicative a été découverte sur les lieux.

Un drame familial s'est déroulé dans la commune de Cognac-la-Forêt, en Haute-Vienne. Deux corps sans vie ont été découverts, hier, dans une maison d'habitation, au lieu-dit « Aubepeyre ».

Selon toute vraisemblance, un homme de 90 ans aurait tué sa femme de 88 ans avant de se donner la mort.

Sur la porte de cette maison du XIXe siècle, appartenant aux époux Andrieux, sont apposés des scellés « homicide », ne laissant aucun doute sur le drame qui vient de se dérouler.

Une autopsie doit avoir lieu au CHU de Limoges pour confirmer la thèse des enquêteurs et du médecin légiste. Thérèse aurait été tuée à l'aide d'un objet, vraisemblablement un marteau, par son mari Jean, lequel a ensuite saisi une arme de chasse pour mettre fin à ses jours.

Devant la porte, les fleurs sont fraîchement entretenues, soigneusement disposées. Aucun signe ne laissait présager un tel drame.

" Ils avaient toute leur tête "

« Nous ne nous doutions de rien », reconnaît un couple de voisins. « Ils étaient âgés, mais ils pouvaient encore se déplacer. Il y a cinq jours, nous l'avons vu au volant de sa voiture. »

Hier matin, alors qu'on vient leur livrer du pain, les époux Andrieux ne sortent pas de chez eux, comme ils le font pourtant chaque jour.

La voisine, inquiète, contacte leur petite fille. « Je m'occupais d'eux régulièrement », témoigne cette dernière. « Ils avaient toute leur tête. J'étais encore avec eux samedi et les voisins les ont vus hier. Mon grand-père avait parlé de mettre fin à ses jours il y a des années s'il tombait gravement malade. Mais ce n'était pas le cas. Je ne pensais pas que cela arriverait. »

Pourtant, une lettre a été retrouvée par les enquêteurs dans la maison. Le mari y avait noté vouloir en finir avec la vie.

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mardi 14 septembre 2010

Cauchy-à-la-Tour : une femme de 40 ans tuée à l'arme blanche, son ancien concubin en garde à vue

Le drame a été découvert peu après 8 heures, ce matin. Quand les secours et les policiers ont découvert le corps sans vie d'une femme âgée de 40 ans à son domicile, rue d'Auchel à Cauchy-à-la-Tour (près de Bruay-La Buissière). Cette mère de deux enfants avait été tuée dans le couloir de l'habitation, avec une arme blanche, très probablement un couteau.

Dans le même temps, les gendarmes de la compagnie de Saint-Pol recevaient l'appel d'un homme qui aurait expliqué avoir tué sa femme à Cauchy-à-la-Tour. Il a attendu les gendarmes au domicile de ses parents, à Floringhem.

Interpellé, il a aussitôt été placé en garde à vue où il aurait reconnu avoir tué son ex-compagne, le couple s'étant séparé depuis quelque temps. Les policiers auchellois en charge de l'enquête et ceux du service de police technique et scientifique, le médecin légiste et la substitut du procureur ont passé la matinée sur les lieux du drame.

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vendredi 10 septembre 2010

Jeune femme tuée à Saint-Pol de Léon (29). Son ex-concubin est sorti du coma

Le jeune homme âgé de 22 ans, soupçonné d'avoir tué son ex-compagne à Saint-Pol-de-Léon, samedi matin, avant de vouloir se donner la mort , est sorti du coma, hier. «Les médecins brestois ont réalisé un exploit, dans la mesure où son pronostic vital était largement engagé. Il est maintenant sorti d'affaire en termes médicaux mais pas en termes judiciaires», commentait, juste après avoir appris la nouvelle hier, le procureur de la République de Morlaix, Stéphane Cantero. C'est de son lit d'hôpital que le principal témoin et suspect dans la mort d'Audrey Auffret sera entendu, aujourd'hui. Avant sa probable mise en examen pour violences volontaires ayant entraîné la mort.

Un drame s'est joué dans le centre de Saint-Pol-de-Léon, dans la nuit de vendredi à samedi. Une jeune femme de 22 ans est morte, probablement poignardée. Le suspect, son ex-concubin, a tenté de mettre fin à ses jours. Il aujourd'hui et devrait pouvoir être entendu par les gendarmes aujourd'hui.

C'est probablement sur fond de dépit amoureux, au cours d'une dispute, que l'homicide a eu lieu, dans la nuit de vendredi à samedi, dans un petit appartement de la rue Dociatis, à Saint-Pol-de-Léon (29). Alertée par un SMS de son fils, reçu peu après 5h15, la mère de l'agresseur présumé, arrivée rapidement sur place, a été la première à appeler les secours. Dans la salledebain gisait, déjà morte, Audrey Auffret, âgée de 22 ans, et à ses côtés, inanimé, son ex-concubin, âgé de 22 ans également. Réputé pour être d'un tempérament jaloux et ne supportant visiblement pas la séparation récente avec sa jeune compagne, le jeune homme aurait porté plusieurs coups de couteau à celle-ci, avant de retourner l'arme contre lui et tenter de se donner la mort.

L'autopsie parlera

Le Smur et les sapeurs-pompiers de Saint-Pol-de-Léon ont, au petit matin, pris en charge l'agresseur présumé, dans un état de santé très inquiétant. Celui-ci a été transporté au centre hospitalier de la Cavale-Blanche, à Brest. «Il serait, à l'heure qu'il est, entre la vie et la mort», commentait, en fin de journée, hier, le procureur de Morlaix, Stéphane Cantero. Aidé par la brigade de recherches de la gendarmerie de Plourin-lès-Morlaix, ainsi que des brigades de la communauté de communes de Saint-Pol-de-Léon, le parquet de Morlaix a diligenté une enquête.

«Nous ne pouvons, pour l'instant, savoir à quelle heure ni dans quelles circonstances précises la jeune femme est décédée», poursuit le magistrat. «Seule l'autopsie, pratiquée lundi après-midi, ainsi que l'expertise des traces de sang dont nous aurons les résultats en courant de semaine, nous donneront toutes les informations». «Il s'agissait de jeunes gens sans histoire, pas particulièrement connus à Saint-Pol-de-Léon», note pour sa part le maire de la commune, Nicolas Floch. Celui-ci s'est rendu sur place dès 6h, hier. Notant, avec désarroi, l'âge des victimes. «C'est de toute façon trop jeune pour mourir».

jeudi 9 septembre 2010

Femme poignardée en Saône-et-Loire: l'assassin présumé mis en examen

L'homme qui a tué son ex-amie de 24 ans à coups de couteau au d'une violente dispute dans la rue, vendredi soir au Creusot (Saône-et-Loire), a été mis en examen lundi pour «assassinat», a annoncé le parquet de Châlon-sur-Saône.

Le présumé «a été déféré lundi matin et mis en examen pour assassinat, il a été placé en détention provisoire», a déclaré le procureur de la République, Christophe Rode, lors d'un point de presse.

Selon le substitut du procureur, Xavier Moissenet, les explications de l'homme de 34 ans mis en cause sont «assez confuses». «Il avait consommé pas mal de stupéfiants. Des analyses sont en cours, les résultats devraient être connus dans les prochains jours», a-t-il ajouté.

L'origine du conflit serait lié à l'enfant du couple

Selon M. Moissenet, qui s'est rendu sur place vendredi soir et a qualifié l'agression d'«extrêmement violente», l'origine du conflit serait «vraisemblablement» lié à l'enfant commun du couple.

Selon des témoins, l'altercation a éclaté vers 21h30 alors que le couple marchait dans la rue. L'homme aurait alors plaqué son ex-amie contre un mur et lui a porté plusieurs coups de couteau, avant de s'enfuir en voiture. La jeune femme a été tuée sur le coup.

Le meurtrier présumé a été interpellé samedi à 6 heures à son domicile. Placé en garde à vue au commissariat du Creusot, et a immédiatement «reconnu être l'auteur des coups de couteau».

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dimanche 5 septembre 2010

Guilligomarc'h (29). Une femme tuée de cinq balles

Une femme âgée de 37 ans a été tuée par balle, dimanche soir, à son domicile de Guilligomarc'h. L'auteur présumé des coups de feu, son mari avec qui elle était en instance de divorce, s'est rendu à la gendarmerie.


C'est un drame passionnel qui a coûté la vie, dimanche soir, à une habitante de Guilligomarc'h. EleinaThomsen, 37 ans, a été tuée par balles, à son domicile. Son mari, avec qui elle était en instance de divorce, est l'auteur présumé des faits. Vers 18h15, celui-ci vient déposer les enfants du couple (un garçon âgé de 4 ans et une fillette âgée de 6 ans) chez sa femme après en avoir eu la garde pour le week-end. Il a un bref échange verbal avec elle. Puis, trois coups de feu sont tirés en direction de la femme, à l'aide d'un pistolet 38 special. EleinaThomsen s'écroule alors sur la pelouse du pavillon, où elle vivait avec ses deux enfants. Présent sur les lieux en compagnie de ses trois enfants, le nouvel ami de la victime aurait également été menacé. Avant de s'enfuir, l'auteur présumé des faits serait revenu sur ses pas. Plusieurs coups de feu ont encore été tirés sur le corps de sa femme, alors à terre.

L'homme se livreaux gendarmes

Le mari de la victime s'est ensuite rendu, de lui-même, à la gendarmerie d'Arzano après avoir téléphoné à un ami puis à la famille. Le meurtrier présumé a alors été placé en garde à vue à la gendarmerie de Quimperlé. Les cinq enfants et l'homme, témoins de la scène, ont, eux, été hospitalisés et devraient bénéficier de soins psychologiques. Originaire des Iles Féroé, ÉleinaThomsen s'était installée il y a sept ans avec son mari dans un pavillon situé au lieu-dit Nilizic. Depuis près d'un an, l'homme, âgé de 38 ans, chef de quai sur le port de Brest, avait quitté le domicile familial pour partir vivre à Hanvec, dans la région de Landerneau. La femme, employée d'une entreprise de mareyage située sur le port de Kéroman, à Lorient, avait depuis refait sa vie avec un autre homme. Durant le week-end, ses enfants avaient confirmé à leur père que leur mère fréquentait «quelqu'un de très bien», ce qu'il n'aurait pas supporté. L'information judiciaire qui devrait être ouverte aujourd'hui par le parquet de Brest devra déterminer s'il y a eu préméditation.

Une arme achetéeen Suisse

Selon le procureur de la République de Quimper, «l'arme a été achetée en Suisse au mois de juin dernier. L'homme s'est arrêté dimanche sur la route entre Hanvec et Guilligomarc'h afin de charger le barillet de six cartouches». On ignore encore si l'auteur présumé des faits était autorisé à détenir cette arme. Certains voisins soulignaient, hier, que «la femme se sentait menacée depuis quelque temps par son mariet pensait même porter plainte auprès de la gendarmerie».

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Guilligomarc'h (29). Une femme tuée de cinq balles

Une femme âgée de 37 ans a été tuée par balle, dimanche soir, à son domicile de Guilligomarc'h. L'auteur présumé des coups de feu, son mari avec qui elle était en instance de divorce, s'est rendu à la gendarmerie.


C'est un drame passionnel qui a coûté la vie, dimanche soir, à une habitante de Guilligomarc'h. EleinaThomsen, 37 ans, a été tuée par balles, à son domicile. Son mari, avec qui elle était en instance de divorce, est l'auteur présumé des faits. Vers 18h15, celui-ci vient déposer les enfants du couple (un garçon âgé de 4 ans et une fillette âgée de 6 ans) chez sa femme après en avoir eu la garde pour le week-end. Il a un bref échange verbal avec elle. Puis, trois coups de feu sont tirés en direction de la femme, à l'aide d'un pistolet 38 special. EleinaThomsen s'écroule alors sur la pelouse du pavillon, où elle vivait avec ses deux enfants. Présent sur les lieux en compagnie de ses trois enfants, le nouvel ami de la victime aurait également été menacé. Avant de s'enfuir, l'auteur présumé des faits serait revenu sur ses pas. Plusieurs coups de feu ont encore été tirés sur le corps de sa femme, alors à terre.

L'homme se livreaux gendarmes

Le mari de la victime s'est ensuite rendu, de lui-même, à la gendarmerie d'Arzano après avoir téléphoné à un ami puis à la famille. Le meurtrier présumé a alors été placé en garde à vue à la gendarmerie de Quimperlé. Les cinq enfants et l'homme, témoins de la scène, ont, eux, été hospitalisés et devraient bénéficier de soins psychologiques. Originaire des Iles Féroé, ÉleinaThomsen s'était installée il y a sept ans avec son mari dans un pavillon situé au lieu-dit Nilizic. Depuis près d'un an, l'homme, âgé de 38 ans, chef de quai sur le port de Brest, avait quitté le domicile familial pour partir vivre à Hanvec, dans la région de Landerneau. La femme, employée d'une entreprise de mareyage située sur le port de Kéroman, à Lorient, avait depuis refait sa vie avec un autre homme. Durant le week-end, ses enfants avaient confirmé à leur père que leur mère fréquentait «quelqu'un de très bien», ce qu'il n'aurait pas supporté. L'information judiciaire qui devrait être ouverte aujourd'hui par le parquet de Brest devra déterminer s'il y a eu préméditation.

Une arme achetéeen Suisse

Selon le procureur de la République de Quimper, «l'arme a été achetée en Suisse au mois de juin dernier. L'homme s'est arrêté dimanche sur la route entre Hanvec et Guilligomarc'h afin de charger le barillet de six cartouches». On ignore encore si l'auteur présumé des faits était autorisé à détenir cette arme. Certains voisins soulignaient, hier, que «la femme se sentait menacée depuis quelque temps par son mariet pensait même porter plainte auprès de la gendarmerie».

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vendredi 3 septembre 2010

Un Anglais soupçonné d'avoir tué et brûlé sa femme déféré au Parquet de Rennes

RENNES (AP) — Un Anglais soupçonné d'avoir tué et brûlé sa femme dans leur maison au Châtellier (Ille-et-Vilaine) a été déféré au parquet de Rennes (Ille-et-Vilaine) lundi après-midi, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Une information judiciaire devait être ouverte.

Agé de 55 ans, l'homme a avoué avoir eu une dispute avec sa femme de 49 ans dans la nuit de vendredi à samedi. Celle-ci aurait fait une chute mortelle lors de l'altercation. Le quinquagénaire a expliqué avoir brûlé le corps de son épouse avant d'en dissimuler les restes dans du ciment.

Pris de remords, l'Anglais a prévenu ses enfants samedi après-midi. Ces derniers ont prévenu les gendarmes qui ont découvert les restes de la défunte et ont placé son époux en garde à vue à Fougères. Installé depuis une dizaine d'années dans la région, le couple envisageait de créer des chambres d'hôte, ainsi qu'un golf, selon le quotidien Ouest-France. AP

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mercredi 1 septembre 2010

Une femme tuée à coups de couteau à Nancy

Les faits se sont déroulés mercredi après-midi à Nancy, en Meurthe-et-Moselle.

Une violente altercation a éclaté dans un couple, au cours de laquelle la femme, âgée de 33 ans, a été tuée de plusieurs coups de couteau.

Quant à son compagnon, il a été transporté, dans un état critique, à l'hôpital.

Les deux enfants du couple, âgés de 3 et 8 ans, ont été évacués de leur appartement par la grande échelle des pompiers, pour ne pas qu'ils voient le cadavre de leur maman.

La Sûreté urbaine de Nancy a été chargée de l'enquête.

jeudi 12 août 2010

Nice - Il tue sa femme par peur qu’elle le quitte

Un Niçois de 47 ans a été déféré hier devant la justice après s’être accusé de meurtre. Le corps de son épouse a été retrouvé dans sa cave, enveloppé dans une couverture.
Le voyage de sa femme en Algérie, en juillet dernier, aura été le dernier. Un séjour durant lequel, D. en est certain, son épouse l’a trompé. Et ce Niçois de 47 ans, employé dans une entreprise de climatisation, en est également sûr : C., 52 ans, va maintenant le quitter et cette perspective lui est proprement insupportable. L’a-t-elle menacé de partir avec leurs deux enfants, jeudi soir dernier ? Ce soir-là, une dispute aurait éclaté entre le couple et, « entre minuit et une heure du matin », selon une source policière, D. a tué C.

Le lendemain du drame, D. s’est présenté au commissariat voisin de son immeuble, quartier des Mahonias, à l’ouest de Nice. « Bonjour, j’ai tué ma femme hier soir, le corps est dans la cave, elle voulait me quitter », aurait-il lancé très calmement aux fonctionnaires de permanence. Face à un tel aveu, les policiers n’ont d’autre choix que de se rendre sur les lieux. Dans la cave en question, ils trouvent en effet un corps sans vie, enveloppé dans une couette et gisant à terre. Il s’agit bien de C., l’épouse de D. Une autopsie doit être réalisée cette semaine mais les premières investigations de la brigade criminelle de la sûreté départementale corroboreraient les déclarations spontanées de l’époux, selon le quotidien Nice-Matin, dans son édition du 14 août. Selon ses explications, D. aurait transporté le cadavre de son épouse, de leur appartement du 3e étage au sous-sol, sitôt après avoir compris qu’elle était morte,

Mutisme absolu

Placé en garde à vue dans la foulée de la découverte du cadavre de sa femme, D. s’est ensuite retranché dans un mutisme absolu. « Après avoir vu son avocat, il s’est refermé comme une huître », explique une source judiciaire. « Il ne s’exprime plus », a confirmé dimanche le vice-procureur de Nice en charge de l’affaire, Jean Coutton. Hier, après une prolongation de sa garde à vue, il devait être déféré en début de soirée devant la justice en vue de sa mise en examen pour « meurtre aggravé par situation de conjoint », a précisé une source judiciaire.

Dans l’immeuble de la cité des Mahonias – des barres d’immeubles promises à une destruction prochaine –, un voisin du couple s’épanche : « Elle était partie en juillet en vacances en Algérie dans sa belle-famille avec sa dernière fille et il pensait qu’elle avait eu une aventure là-bas. Il était persuadé qu’elle allait le quitter », a-t-il confié à Nice-Matin. Le couple aurait eu cinq ou six enfants issus d’unions différentes.

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lundi 19 juillet 2010

Une jeune femme tuée dans son appartement dans le centre de Clermont-Ferrand

Une femme de 32 ans a été tuée, hier après-midi, dans son appartement du centre de Clermont-Ferrand. Son compagnon s'est rendu au commissariat. Il a été placé en garde à vue.

«Que s'est-il passé ? Ils se sont disputés ? ». Hier après-midi, rue des Archers, près de la place Delille, à Clermont-Ferrand, les voisins du petit immeuble au numéro quatre, s'interrogent. Les sapeurs-pompiers et le médecin du SMUR, intervenus dans l'un des appartements vers 17 h 40, viennent de repartir. Seuls. « C'est mauvais signe » commente un jeune homme inquiet.

Malgré leurs gestes de premiers secours, la jeune femme de 32 ans qui habite au dernier étage est morte. C'est sa petite fille de 10 ans qui aurait découvert le corps de sa maman. Elle se serait alors réfugiée chez des voisins. Ils ont donné l'alerte. (...)

Autopsie cet après-midi

Hier soir, vers 23 heures, la magistrate du parquet s'est montrée très prudente pour évoquer cette affaire : « Les auditions sont en cours. Les policiers sont toujours en train de travailler dans l'appartement ». Toutefois, selon les premières constatations, « la jeune femme aurait succombé par arme à feu ». Mais les voisins du couple disent n'avoir rien entendu...

L'autopsie, qui devrait être pratiquée cet après-midi à l'Institut médico-légal au CHU de Clermont-Fd, précisera les causes exactes de la mort de la jeune femme.

Sa famille est arrivée hier soir à Clermont-Ferrand. Ses parents, son frère ont été entendus par la police. Ils ont ensuite rejoint la petite fille de 10 ans, restée chez des voisins, l'enfant du couple.