dimanche 26 septembre 2010

Rouen. Un homme avoue le meurtre de sa compagne et de sa belle-fille

Un homme s'est constitué prisonnier dimanche à Chauvigny, près de Poitiers. Il a déclaré avoir tué sa compagne et la fille de cette dernière.

Un double meurtre a été commis ce week-end à Chauvigny, près de Poitiers. Un homme s'est rendu de lui-même à la gendarmerie de la commune. Il a avoué avoir tué sa femme et la fille ce celle-ci. Des représentants des forces de l'ordre se sont rendus dans l'appartement de la victime présumée pour vérifier ces dires. Ils ont bien trouvé deux corps qui présentaient des traces de coups portés vraisemblablement avec une arme blanche. L'homme qui s'est accusé du meurtre était en instance de séparation avec la femme tuée.


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Tragédie familiale: il tue sa femme et blesse sa fille avant de se suicider

Ce père de famille a également blessé un jeune homme de 18 ans dimanche en début de soirée à son domicile dans l'Hérault, avant de retourner l'arme contre lui. Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame est survenu au terme d'un conflit familial qui a mal tourné.

Un père de famille a tué sa femme et blessé deux personnes dont sa fille par arme à feu, dimanche à leur domicile en début de soirée à Vérargues dans l'Hérault. Le tireur, dont le sort était inconnu en début de soirée, a finalement décidé de mettre fin à ses jours.

"Il s'est suicidé, l'action publique est terminée", a déclaré le procureur de la République à Montpellier, Brice Robin. Dans un premier temps, les gendarmes présents sur place ignoraient s'il était resté dans la maison isolée dans les vignes où se sont déroulés les faits, ou s'il avait pris la fuite.

"On a tenté de prendre contact avec l'individu, pour s'assurer qu'il était dans la maison. On s'est approché, la maison était silencieuse, et on a vu par la fenêtre un corps gisant par terre. Selon toute vraisemblance, il a retourné l'arme contre lui", a raconté le colonel François Agostini, commandant du groupement de gendarmerie de l'Hérault.

Les faits se sont déroulés vers 18H30 dans la maison familiale à Vérargues, près de Lunel. La femme tuée, atteinte à la tête, est âgée de 40 ans selon les pompiers. Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame est survenu au terme d'un conflit familial qui a mal tourné et l'épouse "était en train de s'enfuir" quand elle a été mortellement touchée de dos, a précisé le procureur.

La fille du tireur qui a reçu une balle de 22 long rifle dans l'abdomen, a réussi à s'enfuir. Elle a été hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger, selon la même source. La troisième victime est un jeune homme de 18 ans, une connaissance de la famille qui a reçu une balle dans le bras.

Des renforts du Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) étaient attendus quand la vingtaine de gendarmes déjà présents sur place ont approché la maison et constaté la mort du tireur.

Les circonstances exactes du drame et le motif de la dispute qui l'a déclenché n'étaient pas encore connus dimanche soir. (Source AFP)

Il se suicide après avoir tué sa femme

Un terrible drame a eu lieu hier, peu après 18h à Vérargues, à l'est de Montpellier, dans une maison isolée. Un homme d'une cinquantaine d'année, visiblement sansemploi, a tué sa femme âgée de 44 ans, par arme à feu. Il a également blessé deux personnes dont sa fille. La femme aurait été touchée à la tête, selon les pompiers. La fille a reçu une balle de 22 long rifle dans l'abdomen, elle a été hospitalisée et a été transportée à l'hôpital consciente. Elle serait hors de danger.
La troisième victime a elle aussi été blessée par arme à feu, au bras. Il s'agit d'un jeune homme de 18 ans, une connaissance de la famille. Vers 21h30, le corps sans vie du tireur a été retrouvé. Il s'est suicidé.
Selon les enquêteurs, le couple était connu des services de police. L'homme avait des antécédents d'escroquerie, de recel, de vol et de trafic de stupéfiants. Le couple aurait été impliqué récemment dans une affaire de vol de pièces auto

lundi 20 septembre 2010

La mort en pleine rue à Biarritz.

Coup de folie ou acte prémédité ? Un homme de 76 ans a tué son ancienne femme avant de se donner la mort en pleine rue, dans le centre-ville de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques).


A Biarritz, on s’interroge. Pourquoi cet homme de 76 ans a-t-il tué son ancienne femme, âgée de 69 ans, en pleine rue, dans le centre ville de la cité basque ? Un acte de folie ou un geste prémédité ? Au vu des courriers retrouvés dans les poches du meurtrier, le coup de folie passager sera sans doute écarté par les enquêteurs biarrots. Lundi 20 septembre 2010, il est un peu plus de 19 heures quand le septuagénaire tire sur son ex-femme. Une cartouche tirée à bout portant en plein abdomen ne laisse aucune chance à cette femme dont il était divorcé depuis une trentaine d’années. Suite à son geste, il va retourner son fusil contre lui et se donner la mort, en pleine rue. Les enquêteurs poursuivent leur enquête pour connaître les éléments qui ont conduit au drame.

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mercredi 15 septembre 2010

Il tue sa femme et se suicide

Un homme de 90 ans a tué sa femme et s'est donné la mort à Cognac-la-Forêt. Une lettre explicative a été découverte sur les lieux.

Un drame familial s'est déroulé dans la commune de Cognac-la-Forêt, en Haute-Vienne. Deux corps sans vie ont été découverts, hier, dans une maison d'habitation, au lieu-dit « Aubepeyre ».

Selon toute vraisemblance, un homme de 90 ans aurait tué sa femme de 88 ans avant de se donner la mort.

Sur la porte de cette maison du XIXe siècle, appartenant aux époux Andrieux, sont apposés des scellés « homicide », ne laissant aucun doute sur le drame qui vient de se dérouler.

Une autopsie doit avoir lieu au CHU de Limoges pour confirmer la thèse des enquêteurs et du médecin légiste. Thérèse aurait été tuée à l'aide d'un objet, vraisemblablement un marteau, par son mari Jean, lequel a ensuite saisi une arme de chasse pour mettre fin à ses jours.

Devant la porte, les fleurs sont fraîchement entretenues, soigneusement disposées. Aucun signe ne laissait présager un tel drame.

" Ils avaient toute leur tête "

« Nous ne nous doutions de rien », reconnaît un couple de voisins. « Ils étaient âgés, mais ils pouvaient encore se déplacer. Il y a cinq jours, nous l'avons vu au volant de sa voiture. »

Hier matin, alors qu'on vient leur livrer du pain, les époux Andrieux ne sortent pas de chez eux, comme ils le font pourtant chaque jour.

La voisine, inquiète, contacte leur petite fille. « Je m'occupais d'eux régulièrement », témoigne cette dernière. « Ils avaient toute leur tête. J'étais encore avec eux samedi et les voisins les ont vus hier. Mon grand-père avait parlé de mettre fin à ses jours il y a des années s'il tombait gravement malade. Mais ce n'était pas le cas. Je ne pensais pas que cela arriverait. »

Pourtant, une lettre a été retrouvée par les enquêteurs dans la maison. Le mari y avait noté vouloir en finir avec la vie.

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mardi 14 septembre 2010

Cauchy-à-la-Tour : une femme de 40 ans tuée à l'arme blanche, son ancien concubin en garde à vue

Le drame a été découvert peu après 8 heures, ce matin. Quand les secours et les policiers ont découvert le corps sans vie d'une femme âgée de 40 ans à son domicile, rue d'Auchel à Cauchy-à-la-Tour (près de Bruay-La Buissière). Cette mère de deux enfants avait été tuée dans le couloir de l'habitation, avec une arme blanche, très probablement un couteau.

Dans le même temps, les gendarmes de la compagnie de Saint-Pol recevaient l'appel d'un homme qui aurait expliqué avoir tué sa femme à Cauchy-à-la-Tour. Il a attendu les gendarmes au domicile de ses parents, à Floringhem.

Interpellé, il a aussitôt été placé en garde à vue où il aurait reconnu avoir tué son ex-compagne, le couple s'étant séparé depuis quelque temps. Les policiers auchellois en charge de l'enquête et ceux du service de police technique et scientifique, le médecin légiste et la substitut du procureur ont passé la matinée sur les lieux du drame.

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vendredi 10 septembre 2010

Jeune femme tuée à Saint-Pol de Léon (29). Son ex-concubin est sorti du coma

Le jeune homme âgé de 22 ans, soupçonné d'avoir tué son ex-compagne à Saint-Pol-de-Léon, samedi matin, avant de vouloir se donner la mort , est sorti du coma, hier. «Les médecins brestois ont réalisé un exploit, dans la mesure où son pronostic vital était largement engagé. Il est maintenant sorti d'affaire en termes médicaux mais pas en termes judiciaires», commentait, juste après avoir appris la nouvelle hier, le procureur de la République de Morlaix, Stéphane Cantero. C'est de son lit d'hôpital que le principal témoin et suspect dans la mort d'Audrey Auffret sera entendu, aujourd'hui. Avant sa probable mise en examen pour violences volontaires ayant entraîné la mort.

Un drame s'est joué dans le centre de Saint-Pol-de-Léon, dans la nuit de vendredi à samedi. Une jeune femme de 22 ans est morte, probablement poignardée. Le suspect, son ex-concubin, a tenté de mettre fin à ses jours. Il aujourd'hui et devrait pouvoir être entendu par les gendarmes aujourd'hui.

C'est probablement sur fond de dépit amoureux, au cours d'une dispute, que l'homicide a eu lieu, dans la nuit de vendredi à samedi, dans un petit appartement de la rue Dociatis, à Saint-Pol-de-Léon (29). Alertée par un SMS de son fils, reçu peu après 5h15, la mère de l'agresseur présumé, arrivée rapidement sur place, a été la première à appeler les secours. Dans la salledebain gisait, déjà morte, Audrey Auffret, âgée de 22 ans, et à ses côtés, inanimé, son ex-concubin, âgé de 22 ans également. Réputé pour être d'un tempérament jaloux et ne supportant visiblement pas la séparation récente avec sa jeune compagne, le jeune homme aurait porté plusieurs coups de couteau à celle-ci, avant de retourner l'arme contre lui et tenter de se donner la mort.

L'autopsie parlera

Le Smur et les sapeurs-pompiers de Saint-Pol-de-Léon ont, au petit matin, pris en charge l'agresseur présumé, dans un état de santé très inquiétant. Celui-ci a été transporté au centre hospitalier de la Cavale-Blanche, à Brest. «Il serait, à l'heure qu'il est, entre la vie et la mort», commentait, en fin de journée, hier, le procureur de Morlaix, Stéphane Cantero. Aidé par la brigade de recherches de la gendarmerie de Plourin-lès-Morlaix, ainsi que des brigades de la communauté de communes de Saint-Pol-de-Léon, le parquet de Morlaix a diligenté une enquête.

«Nous ne pouvons, pour l'instant, savoir à quelle heure ni dans quelles circonstances précises la jeune femme est décédée», poursuit le magistrat. «Seule l'autopsie, pratiquée lundi après-midi, ainsi que l'expertise des traces de sang dont nous aurons les résultats en courant de semaine, nous donneront toutes les informations». «Il s'agissait de jeunes gens sans histoire, pas particulièrement connus à Saint-Pol-de-Léon», note pour sa part le maire de la commune, Nicolas Floch. Celui-ci s'est rendu sur place dès 6h, hier. Notant, avec désarroi, l'âge des victimes. «C'est de toute façon trop jeune pour mourir».

jeudi 9 septembre 2010

Femme poignardée en Saône-et-Loire: l'assassin présumé mis en examen

L'homme qui a tué son ex-amie de 24 ans à coups de couteau au d'une violente dispute dans la rue, vendredi soir au Creusot (Saône-et-Loire), a été mis en examen lundi pour «assassinat», a annoncé le parquet de Châlon-sur-Saône.

Le présumé «a été déféré lundi matin et mis en examen pour assassinat, il a été placé en détention provisoire», a déclaré le procureur de la République, Christophe Rode, lors d'un point de presse.

Selon le substitut du procureur, Xavier Moissenet, les explications de l'homme de 34 ans mis en cause sont «assez confuses». «Il avait consommé pas mal de stupéfiants. Des analyses sont en cours, les résultats devraient être connus dans les prochains jours», a-t-il ajouté.

L'origine du conflit serait lié à l'enfant du couple

Selon M. Moissenet, qui s'est rendu sur place vendredi soir et a qualifié l'agression d'«extrêmement violente», l'origine du conflit serait «vraisemblablement» lié à l'enfant commun du couple.

Selon des témoins, l'altercation a éclaté vers 21h30 alors que le couple marchait dans la rue. L'homme aurait alors plaqué son ex-amie contre un mur et lui a porté plusieurs coups de couteau, avant de s'enfuir en voiture. La jeune femme a été tuée sur le coup.

Le meurtrier présumé a été interpellé samedi à 6 heures à son domicile. Placé en garde à vue au commissariat du Creusot, et a immédiatement «reconnu être l'auteur des coups de couteau».

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dimanche 5 septembre 2010

Guilligomarc'h (29). Une femme tuée de cinq balles

Une femme âgée de 37 ans a été tuée par balle, dimanche soir, à son domicile de Guilligomarc'h. L'auteur présumé des coups de feu, son mari avec qui elle était en instance de divorce, s'est rendu à la gendarmerie.


C'est un drame passionnel qui a coûté la vie, dimanche soir, à une habitante de Guilligomarc'h. EleinaThomsen, 37 ans, a été tuée par balles, à son domicile. Son mari, avec qui elle était en instance de divorce, est l'auteur présumé des faits. Vers 18h15, celui-ci vient déposer les enfants du couple (un garçon âgé de 4 ans et une fillette âgée de 6 ans) chez sa femme après en avoir eu la garde pour le week-end. Il a un bref échange verbal avec elle. Puis, trois coups de feu sont tirés en direction de la femme, à l'aide d'un pistolet 38 special. EleinaThomsen s'écroule alors sur la pelouse du pavillon, où elle vivait avec ses deux enfants. Présent sur les lieux en compagnie de ses trois enfants, le nouvel ami de la victime aurait également été menacé. Avant de s'enfuir, l'auteur présumé des faits serait revenu sur ses pas. Plusieurs coups de feu ont encore été tirés sur le corps de sa femme, alors à terre.

L'homme se livreaux gendarmes

Le mari de la victime s'est ensuite rendu, de lui-même, à la gendarmerie d'Arzano après avoir téléphoné à un ami puis à la famille. Le meurtrier présumé a alors été placé en garde à vue à la gendarmerie de Quimperlé. Les cinq enfants et l'homme, témoins de la scène, ont, eux, été hospitalisés et devraient bénéficier de soins psychologiques. Originaire des Iles Féroé, ÉleinaThomsen s'était installée il y a sept ans avec son mari dans un pavillon situé au lieu-dit Nilizic. Depuis près d'un an, l'homme, âgé de 38 ans, chef de quai sur le port de Brest, avait quitté le domicile familial pour partir vivre à Hanvec, dans la région de Landerneau. La femme, employée d'une entreprise de mareyage située sur le port de Kéroman, à Lorient, avait depuis refait sa vie avec un autre homme. Durant le week-end, ses enfants avaient confirmé à leur père que leur mère fréquentait «quelqu'un de très bien», ce qu'il n'aurait pas supporté. L'information judiciaire qui devrait être ouverte aujourd'hui par le parquet de Brest devra déterminer s'il y a eu préméditation.

Une arme achetéeen Suisse

Selon le procureur de la République de Quimper, «l'arme a été achetée en Suisse au mois de juin dernier. L'homme s'est arrêté dimanche sur la route entre Hanvec et Guilligomarc'h afin de charger le barillet de six cartouches». On ignore encore si l'auteur présumé des faits était autorisé à détenir cette arme. Certains voisins soulignaient, hier, que «la femme se sentait menacée depuis quelque temps par son mariet pensait même porter plainte auprès de la gendarmerie».

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Guilligomarc'h (29). Une femme tuée de cinq balles

Une femme âgée de 37 ans a été tuée par balle, dimanche soir, à son domicile de Guilligomarc'h. L'auteur présumé des coups de feu, son mari avec qui elle était en instance de divorce, s'est rendu à la gendarmerie.


C'est un drame passionnel qui a coûté la vie, dimanche soir, à une habitante de Guilligomarc'h. EleinaThomsen, 37 ans, a été tuée par balles, à son domicile. Son mari, avec qui elle était en instance de divorce, est l'auteur présumé des faits. Vers 18h15, celui-ci vient déposer les enfants du couple (un garçon âgé de 4 ans et une fillette âgée de 6 ans) chez sa femme après en avoir eu la garde pour le week-end. Il a un bref échange verbal avec elle. Puis, trois coups de feu sont tirés en direction de la femme, à l'aide d'un pistolet 38 special. EleinaThomsen s'écroule alors sur la pelouse du pavillon, où elle vivait avec ses deux enfants. Présent sur les lieux en compagnie de ses trois enfants, le nouvel ami de la victime aurait également été menacé. Avant de s'enfuir, l'auteur présumé des faits serait revenu sur ses pas. Plusieurs coups de feu ont encore été tirés sur le corps de sa femme, alors à terre.

L'homme se livreaux gendarmes

Le mari de la victime s'est ensuite rendu, de lui-même, à la gendarmerie d'Arzano après avoir téléphoné à un ami puis à la famille. Le meurtrier présumé a alors été placé en garde à vue à la gendarmerie de Quimperlé. Les cinq enfants et l'homme, témoins de la scène, ont, eux, été hospitalisés et devraient bénéficier de soins psychologiques. Originaire des Iles Féroé, ÉleinaThomsen s'était installée il y a sept ans avec son mari dans un pavillon situé au lieu-dit Nilizic. Depuis près d'un an, l'homme, âgé de 38 ans, chef de quai sur le port de Brest, avait quitté le domicile familial pour partir vivre à Hanvec, dans la région de Landerneau. La femme, employée d'une entreprise de mareyage située sur le port de Kéroman, à Lorient, avait depuis refait sa vie avec un autre homme. Durant le week-end, ses enfants avaient confirmé à leur père que leur mère fréquentait «quelqu'un de très bien», ce qu'il n'aurait pas supporté. L'information judiciaire qui devrait être ouverte aujourd'hui par le parquet de Brest devra déterminer s'il y a eu préméditation.

Une arme achetéeen Suisse

Selon le procureur de la République de Quimper, «l'arme a été achetée en Suisse au mois de juin dernier. L'homme s'est arrêté dimanche sur la route entre Hanvec et Guilligomarc'h afin de charger le barillet de six cartouches». On ignore encore si l'auteur présumé des faits était autorisé à détenir cette arme. Certains voisins soulignaient, hier, que «la femme se sentait menacée depuis quelque temps par son mariet pensait même porter plainte auprès de la gendarmerie».

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vendredi 3 septembre 2010

Un Anglais soupçonné d'avoir tué et brûlé sa femme déféré au Parquet de Rennes

RENNES (AP) — Un Anglais soupçonné d'avoir tué et brûlé sa femme dans leur maison au Châtellier (Ille-et-Vilaine) a été déféré au parquet de Rennes (Ille-et-Vilaine) lundi après-midi, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Une information judiciaire devait être ouverte.

Agé de 55 ans, l'homme a avoué avoir eu une dispute avec sa femme de 49 ans dans la nuit de vendredi à samedi. Celle-ci aurait fait une chute mortelle lors de l'altercation. Le quinquagénaire a expliqué avoir brûlé le corps de son épouse avant d'en dissimuler les restes dans du ciment.

Pris de remords, l'Anglais a prévenu ses enfants samedi après-midi. Ces derniers ont prévenu les gendarmes qui ont découvert les restes de la défunte et ont placé son époux en garde à vue à Fougères. Installé depuis une dizaine d'années dans la région, le couple envisageait de créer des chambres d'hôte, ainsi qu'un golf, selon le quotidien Ouest-France. AP

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mercredi 1 septembre 2010

Une femme tuée à coups de couteau à Nancy

Les faits se sont déroulés mercredi après-midi à Nancy, en Meurthe-et-Moselle.

Une violente altercation a éclaté dans un couple, au cours de laquelle la femme, âgée de 33 ans, a été tuée de plusieurs coups de couteau.

Quant à son compagnon, il a été transporté, dans un état critique, à l'hôpital.

Les deux enfants du couple, âgés de 3 et 8 ans, ont été évacués de leur appartement par la grande échelle des pompiers, pour ne pas qu'ils voient le cadavre de leur maman.

La Sûreté urbaine de Nancy a été chargée de l'enquête.